• Les résumés (découverte)

  • Je vous propose cette fois-ci une balade le long des dunes de la baie de Somme en suivant mes vers et les aquarelles de ma femme, Anne. Une belle façon de découvrir cette belle région et nos deux passions. 5ème recueil de mes poèmes, illustré de peintures réalisées spécialement pour ce projet commun. Nous vous souhaitons un bon voyage pour cette escapade en Picardie avec nous.


  • Photographe indépendante, c’est sous la forme de cartes postales que j’ai souhaité faire découvrir mon travail autour des insectes. Mais comment ai-je réussi à obtenir de tels clichés ?!


    C’est lâchée en pleine nature, tel un dompteur de bêtes féroces, que je m’avance prudemment, vers mes fauves à moi : les hexapodes, ou si vous préférez, les insectes ! Certes, ils sont plus petits, mais ils sont, aussi sauvages et imprévisibles !!!

    Il me faut, pour gagner leur confiance, passer de longues heures d’observations, me fondant le plus adroitement possible dans la végétation environnante, ainsi, j’ai appris très vite à différencier une feuille de menthe, ... d’une feuille d’ortie ! Ouille ouille ... !!! Et c’est comme cela, que me fondant parmi eux, ils me laissent disposer de leur image ; M’offrant même, de temps en temps, le privilège d’une relation physique.

    Je me souviens, l’année dernière, d’un Citron butinant tranquillement une fleur. Durant toute la séance, je m’étais imaginée qu’il ne m’avait pas vue. Avant de partir, je n’ai pu m’empêcher de tendre ma main vers lui, et lui, toujours aussi tranquillement est monté sur mon doigt. Et bien, vous savez quoi ... je lui ai souri ... et j’ai attendu patiemment qu’il trouve le moment idéal pour s’envoler ! Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’était vraiment pas pressé, ce citron !


    Ce papillon sur mon doigt, fait partie de mes jolis souvenirs. Ce sont ces souvenirs et ceux à venir, que je vous conte sur mes cartes postales. Il serait tellement dommage de n’avoir que l’Image ... !

    Afin de respecter au mieux mes amis ces cartes sont réalisées sur du papier 100% recyclé et imprimées avec des encres végétales.


  • Un hymne à la vie, à la liberté, voici ce que l’on peut lire à travers cette histoire dans ce livre au format allongé d’un billet de train. Un billet pour rêver, encore et encore car c’est ce qui nous fait avancer et qui donne du sens à nos vies. La trame de cette histoire a été proposée par Alain Séradin, écrite par Emilie Bonnafous et illustrée par Lucce.
    Léon le wagon effectue les aller-retour St-Brieuc/Paris, une chance ! Pourtant il sent qu’il va rouiller de tristesse s’il ne change pas d’itinéraire. Envie d’aller voir ailleurs, découvrir le monde, mais cette idée de changement lui vaut d’être mis à l’écart, seul, sur une voie de garage. Un jour des tontons bricoleurs le remettent à neuf et grâce à plein de gens qui vont s’intéresser à lui, Léon va sortir des rails et vagabonder de ville en ville et apporter du rêve avec l’aide d’artistes, musiciens. Wagabond, un livre à mettre entre toutes les mains.


  • Igor Krikorian est professeur de mathématiques et vient de prendre sa retraite. Julie Bontemps, très jolie femme attirant encore le regard des hommes, est journaliste et prépare un numéro spécial sur la vie des enseignants.
    Le hasard voudra qu'Igor et Julie se rencontrent à la terrasse d'un café non loin de la Sorbonne. Immédiatement le courant passe, parfois si bien qu'ils parleront non seulement des dérives de l'éducation, mais aussi de mathématiques, des Arméniens, d'homosexualité, et même de leur vie privée...
    Et tandis que Julie va se montrer de plus en plus séductrice, happé par un torrent de sensualité auquel il ne s'attendait pas, le fossile cartésien peinera à résoudre l'équation posée par la piquante journaliste...


  • En 2013, une nouvelle oubliée d’Alexandre Dumas est exhumée par un chercheur italien : elle a été publiée en feuilleton dans un journal napolitain en 1860. En Italie, la découverte fait grand bruit. Aucune version en français n’était connue. Où le manuscrit français de L’Assassinat de la rue Saint-Roch est-il donc passé ?
    Jocelyn Fiorina, professeur enseignant fréquemment à l’université de Rome et grand lecteur de Dumas, se fait enquêteur littéraire pour retrouver le manuscrit inédit perdu et percer son sens mystérieux… Son titre rappelle la nouvelle d’Edgar A. Poe, Double Assassinat dans la rue Morgue, les deux textes ont le même cadre, Paris en 1832, et surtout L’Assassinat de la rue Saint-Roch débute par la mise en scène de la rencontre de Dumas avec Poe…
    Jocelyn Fiorina nous raconte la grande énigme que renferme le manuscrit de Dumas, et formule des hypothèses qui nous entraînent dans l’histoire méconnue des sociétés secrètes, à visée révolutionnaire, au début des années 1830, des deux côtés de l’Atlantique…

    Pour la première fois, le texte de L’Assassinat de la rue Saint-Roch est restitué dans son intégralité en français.


  • En sondant son jardin, Frank, consultant industriel, découvre une série de codex, rédigés en caractères Tifinaghs, qui suscitent la convoitise. Leur lecture à haut risque dévoile la vie de célèbres protagonistes immergés dans deux millénaires de temps de crises surmontées et d’évolution sociale. Leur traduction ouvre la boîte de Pandore sur des évènements lourds de conséquences actuelles : si les costumes des hommes changent, la perspective temporelle montre que communication et mobilisation générale font plus qu’abus de pouvoir et faute morale. Inspiré par la lecture révélatrice de « Indignez-vous »(2010), Pierre Martinez s’est lancé dans l’écriture de « Meta-Mecterion » avec une pensée particulière pour Stéphane Hessel (1917-2013) écrivain, diplomate, ambassadeur, résistant et militant politique français.


  • Lazare Volquès, filateur cévenol fortuné, est retrouvé égorgé au bord de la rivière bordant sa magnanerie un été où la chaleur rend folles les fileuses qu'il exploite. De ce siècle, on sait les conditions de vie de la basse main-d'oeuvre, pléthorique et hiérarchisée, les bagnes d'enfants où croupissent des graines que personne ne veut voir pousser... Et, partout, la peur de voir déborder les trimards et les bâtards des cages où on les fait boulonner. Un gros siècle plus tard, un descendant de Lazare, Gérard Volquès, maire du village, est découvert pareillement tranché d'une oreille à l'autre, gisant au bord de la même rivière. Quelle que soit l'époque, les fautifs naturels sont toujours domestiques, ouvriers, femmes adultères, cloches, manouches ou squatteurs. Et toujours, juchée en équilibre précaire sur le barreau le plus bas de l'échelle sociale, c'est la meute des honnêtes gens qui bastonne bravement les damnés, les déchus et les pauvres qui relèvent la tête. Qui expliquera ces meurtres ?


  • Surnommée la Pistolera par la presse des années 70, Antonia la jeune activiste et ses camarades des Brigades mettent tous les carabiniers d’Italie sur les dents. Contrainte de fuir son pays, la jeune fille se jette dans une carrière d’humanitaire au sein d’une congrégation religieuse. Mais la traque qu’organisent les deux officiers italiens qui la pistent est faite pour durer toujours. Dans sa cavale éffrénée, Antonia est tiraillée entre la force inaltérable de ses engagements, son amour pour son cousin Anselme, prêtre dont elle ne partage pas la foi, le devoir de garder le silence pour sa survie et l’impérieux besoin d’agir dans les pays qu’elle traverse. Au Rwanda, elle crie pour chasser les premiers fratricides… Il était une fois une lanceuse d’alerte, elle s’appelait Antonia.


  • Garance se fait embaucher comme domestique par un couple d’éleveurs de porcs. Dans un but précis. Les patrons, Marylène, une belle plante jalouse et féroce, et Jean-Michel, un homme à femmes, sont débordés, arrivistes : tout est bon pour nourrir leurs porcs et leurs ambitions.
    À l’intérieur et autour de cet élevage intensif, la présence obsédante des animaux s’ajoute à celle des humains en un huis clos concentrationnaire.

    Laurence Biberfeld est née en 1960 à Toulouse. Ayant pris son vol très tôt pour se fracasser contre le pavé le plus proche, elle exerce pendant quelques années divers sous-métiers avant de passer son baccalauréat en candidate libre, puis le concours d’instit en 1980. Elle fait ce métier dix-huit ans, puis décide d’arrêter de gagner sa vie pour écrire (et dessiner) à plein temps. Ce que vit le rouge-gorge est son onzième roman.


  • Dans le coma, l agent Aglaé Cimonard, dite Fée en raison de ses superpouvoirs numériques, n est plus reliée à la vie que par la main et la voix d Angèle, la grand-mère du commandant Leoni. Retraçant les derniers jours avant l accident de la plus jeune flic de son équipe, Leoni part dans les Vosges interroger une de ses amies, standardiste dans un centre de soins psy pour adolescents. Le Corse doit trouver le lien entre le destin de son agent et celui de trois jeunes pensionnaires de cette clinique financée par un laboratoire pharmaceutique leader sur le marché des antidépresseurs. L épaisse forêt vosgienne étouffe-t-elle seulement le bruit de la folie des hommes ? Ou aussi celui du scandale ? Leoni pourra-t-il porter secours aux âmes qui s y sont perdues ?


  • « On rêve autour » dit Aragon. Marie est cet autour. Le rêve qui l'a mise au monde, personne ne s'en souvient. Elle était dans sa danse, déjà, tournoyante et grave. Marie est une des bulles d'être qu'une langue soustrait à l'inexistence / la poésie est effervescente. Où le rêve ne me conduit plus, la poésie me traque.


  • Contemplatif, Christian Mahe observe le cours de la vie avec autant de melancolie que de bienveillance. Il nous livre un recueil vivant, non fige par les regles poetiques : s'y melent - parfois au sein meme de certains poemes - vers libres et alexandrins, selon leur capacite a favoriser les emotions et les portraits, mais surtout le partage.


  • Dans ce recueil, Jean-Claude Nonnet, dit Bikko, convie à 111 micro-promenades réparties sur douze mois ; tant visuelles qu'auditives, elles suivent les rythmes saisonniers. Bref, on a envie de lire et de relire pour goûter la vie en soi et autour de soi. (Janick Belleau, poète de haïku et de tanka)


  • Les titres des différents poèmes qui composent ce recueil épousent tous les affects de l’auteur en qui on reconnaît l’amoureuse de la nature, la mère dévouée, la femme généreuse et la poétesse sage. Le lecteur attentionné lira combien l’auteur aime la rime ; parfois, elle tombe à propos et crée une sublime musicalité. L’observation du monde lui permet de juger une connaissance de cause, mais sans tomber dans le pessimisme, car ses leçons de sagesse sont un appel à l’élévation de l’âme humaine. Domino Milot est née en septembre 1959 et a exercé plusieurs professions avant de devenir auteur suite à la fibromyalgie (maladie orpheline, évolutive et incurable).


  • D'or et d'amour est un adieu à l'enfance et à l'adolescence. Passé que l'on devine proche et qui, pourtant, est déjà infiniment nostalgique. Une jeunesse au sein d'une famille nombreuse (sept enfants) extrêmement unie. Le père, ébéniste d'art, dirige d'une main sévère mais juste sa petite tribu, secondé par une mère toute dévouée à ses enfants. Séquence après séquence, nous suivons cette famille heureuse de Châtenay-Malabry, dans la banlieue parisienne, au Martôret, proche de Mâcon, en Bourgogne. Par petites touches impressionistes, Évelyne raconte les joies et les petits drames de l'enfance. Nous assistons aux premiers émois amoureux, au premier baiser. Le livre culmine avec le chant d'amour d'Évelyne à sa mère et, en point d'orgue, la mort du père et la fin des illusions.


  • Ainsi nous pouvons aller plus loin vers d'autres réalités, d'autres sphères de conscience, en prenant appui sur sa propre expérience et en corrélation avec les concepts des anciens mais aussi la psychanalyse moderne et la physique quantique. Il propose une vue globale et poétique de la vie au-delà du temps, à travers l'instant de création, là où l'être et le non-être ne font qu'un. Il nous fait partager la lumière et l’harmonie de l'univers ici et maintenant, après s’être brûlés d'un peu plus près aux portes de l'enfer, comme une bulle de savon au-dessus de l'océan… Préface de l'éditrice Sonia Vignon-Jamal. 


  • Il y avait en Arabie un roi du nom de Rostevan. C'était un habile guerrier, un homme généreux, juste et bon. Il jouissait de grandes richesses, aimait les plaisirs de la table et l'excitation de la chasse. Il n'avait qu'une enfant, une fille, une princesse très belle, belle comme le soleil, disait-on. Elle s'appelait Thinadine. Cette épopée du temps passé Nous vient de l'Orient ancien. Elle fut contée en géorgien, Et transmise aux peuples du monde entier.
    Elle parle d'amour et de passion, De lassitude et de compassion Portée par le Dieu du ciel, Elle donne aux courageux, des ailes.


  • Rester ou partir. Pour l'auteure, c'est Maumusson et sa famille de marins qui lui ont dicté sa voie. Il lui fallait franchir les rouleaux du Pertuis pour exaucer sa soif de découverte, passer d'une rive à l'autre pour se confronter aux inconnus, qu'ils soient lointains ou proches.

    D'un village au sud de Madagascar à Belgrade, de l'Algérie imaginée à Oléron retrouvé, Line Sourbier-Pinter donne à partager sa « petite musique », conjugaison d'émotion et de raison, traversée de l'histoire de sa génération, récits des faits qu'elle interroge à l'épreuve du temps pour leur donner sens.


  • C’est l’histoire d’une évolution : un jeune garçon, Mario d’Este,
    échappe à son milieu d’origine par la magie d’une ville, Venise, qui le façonne et imprime en lui le sens de la beauté. Sans l’aide de l’école, il devient ainsi un transfuge social.

    C’est l’histoire d’une passion : celle des livres, capable de transformer un destin.

    C’est l’histoire de Venise, une Venise réelle, d’avant le tourisme, riche de la truculence de son peuple.

    C’est enfin l’histoire d’un amour : celui qui inspire ce livre.


  • À l’approche de Noël, malgré la présence d’Édouard son fidèle majordome, Angélica Buissière de La Salle se sent seule dans son manoir perché sur les hauteurs d’un petit village du département de l’Isère.
    Après avoir appris que sa petite fille, enceinte de quelques semaines, se pose des questions quant à l’avenir de son bébé et sur celui de sa vie future avec son fiancé David Mansart, à près de 80 ans, la vieille dame décide de réunir toute sa famille pour les fêtes. Entourée d’une douzaine de convives, Angélica espère passer un Noël inoubliable, mais suite à la découverte d’étonnants papiers de famille cachés dans le tiroir secret d’une coiffeuse datant du XVIIIe siècle, Angélica décide de modifier son testament.
    Entre une petite fille perturbée, une fille aigrie, un gendre distant, un neveu retors prêt à tout pour récupérer le manoir de famille et une famille sans scrupule, Angélica est sollicitée de toute part afin d’essayer de régler les problèmes de chacun, qui pour le plus grand nombre, ne sont que soucis financiers.
    Arrivera-t-elle à déjouer le complot qu’elle a découvert grâce à la révélation d’un secret contenu dans un arbre généalogique ?


  • Rédemption Jack a un vice. Il traque les femmes et les prend. Il vole leur âme et leur chair. Ce soir, la chasse est ouverte, sa proie est terrorisée. Mais le crime, pour une fois, n aboutira pas. Parce qu une autre femme, une qu il n a pas choisie, une différente des autres, se met en travers de son chemin... Très vite, Jack prend conscience de l étendue de son pouvoir. Et lorsqu elle lui demande de commettre un acte encore plus effroyable, il ne peut refuser. GalicA La tempête approche de Galica, petite base scientifique perdue au coeur de l Antarctique. Anna, biologiste, fait partie des six chercheurs nommés pour une mission de plusieurs mois. Un soir, un de ses collègues, victime d un accident alors qu il carottait la glace, rentre à la base grièvement blessé. Anna parvient à lui sauver la vie, mais quelque chose a changé en lui. Éternité Une détonation a provoqué un éboulement dans la galerie souterraine. Simon, jeune homme naïf, se retrouve enseveli. Pourtant, sa force et sa rage parviennent à l extirper de ce cauchemar. Lorsqu il se croit tiré d affaire, et qu il atteint enfin la lumière du jour, une surprise de taille l attend à la surface. Le monde a changé. Bien des choses ont disparu, et Simon se retrouve seul. Ou presque...


  • Alice, mariée à Julien et mère de deux enfants, mène une vie sans intérêt depuis le décès de sa fille, survenu un an plus tôt.

    Un soir, au cours d'une fête organisée chez elle, alors qu'elle est endormie sur le canapé, on glisse un papier dans sa main. À son réveil, elle découvre qu'il s'agit d'un échange de mails entre son mari et une autre femme… Une certaine Myriam, qu'elle ne connaît pas. Alice n'en parle à personne.

    Quelques mois plus tard, elle reçoit un message sur son téléphone portable : MYRIAM EST MORTE... Elle croit d'abord à une mauvaise blague, mais les messages se poursuivent et deviennent menaçants. On veut qu'elle comprenne, qu'elle devine, qu'elle sache. Tous les moyens sont utilisés contre elle pour la déstabiliser et lui faire peur. Qui se cache derrière cette mise en scène ? Que doit-elle découvrir ?
    Autant de questions qui la forcent à suivre le jeu de piste qu'on lui impose.

    Elle doit se taire... Alors, quand au fil de ses découvertes le passé de ses proches se trouble, Alice comprend qu'elle va devoir être très prudente. Dorénavant, le mensonge et le danger sont partout.

    Et le temps est compté…


  • Dans le froid glacial de l'hiver 1954, le cadavre de Vivien Malet est découvert sur le marché de Rouen, transpercé par un pic à boeuf. Alors que l'inspecteur Péqueri, frais émoulu de l'école de police, enquête sur l'étrange fiancée du défunt, le commissaire Kléber se concentre sur le clan Malet. Une famille au passé obscur, avec à sa tête le père de la victime. Un patriarche au tempérament féroce qui affirme que son fils était dément. Mais dans ce royaume des fous, le policier devra déterminer qui est le roi.


  • Une nouvelle enquête du flic de papier Anselme Viloc
    Printemps 1992, promotion oblige, Anselme Viloc sévit à Castéja, le célèbre commissariat de Bordeaux. Spécialisé dans les causes perdues, il reçoit, le matin du 16 avril un témoignage à la fois loufoque et émouvant d’un père à la dérive concernant sa fille Pauline disparue depuis presque une année.
    Pourquoi avoir attendu aussi longtemps ?
    La partie ne sera pas facile pour Anselme, le « Flic de papier », les indices lointains et rares, et les nouveaux personnages rencontrés pas ou peu coopératifs. Tout au long du roman, le bassin n’est jamais loin, magnétique et apaisant. Depuis sa terrasse, celle de la cabane de pêcheur qu’il occupe au Canon face à l’île aux oiseaux, il se plait à réfléchir au gré des marées y trouvant calme et inspiration.
    Une période dramatique de l’Histoire convoquée entre les pérégrinations hésitantes de l’enquête rend le récit d’autant plus énigmatique.





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